L’objectif est de réduire les risques avec les pays tiers, en particulier le Royaume-Uni, où l’essentiel du clearing de swaps de taux en euros est ancré. Souveraineté oblige, les États membres souhaitent une relocalisation dans l’UE, 7 ans après le Brexit. Mais, les banques, y compris françaises, s’y opposent, redoutant une désorganisation des opérations. Moins...