Le 22 avril, la cour d'appel de Paris a contredit l'AMF (Autorité des marchés financiers) qui devra donc réévaluer les conséquences de la scission de Vivendi, donnant ainsi raison au fonds activiste CIAM, lequel soutenait qu'une porte de sortie aurait dû être préalablement proposée aux minoritaires. Chronique juridique de Frank Martin Laprade, avocat à la...
Affaire CIAM c AMF : Vincent Bolloré contrôle-t-il Vivendi SE ?
